Uncategorized

Témoignage de notre sœur Hélène

Mardi 9 juillet 2024 au Plan d’Aups

Nous nous sommes réunis pour chanter les Laudes et nous étions donc tous ensemble autour du Saint-Sacrement ; j’ai fermé les yeux quelques instants mais quand je les ai réouverts, se trouvait devant l’autel un homme grand, taille humaine, non pas un homme, seuls les contours étaient dessinés, comme un hologramme, donc transparent et puis cet hologramme est devenu comme une statue en cristal transparent et par transparence au niveau de la poitrine je pouvais encore voir l’ostensoir ! Ce cristal avait la même attitude que la Vierge en pierre blanche qui est à la droite de l’autel, la tête délicatement penchée et les bras un peu écartés, un peu tendus vers nous.
J’ai senti monter des sanglots. J’ai fermé les yeux me disant que lorsque je les réouvrirai tout serait devenu normal.
Et puis je les ai réouverts, l’homme en cristal avait disparu et c’était un vrai homme qui était là devant moi, en chair et en os, je n’avais aucun doute, c’était Jésus, il émanait de lui une force et une douceur impossibles à décrire.
J‘étais à ma place, je n’avais pas bougé et pourtant j’étais dans les bras de Jésus, j’étais portée comme un petit enfant sur l’avant-bras et j’étais caressée comme un père caresse son enfant qui a eu une grosse frayeur, c’était un geste à la fois tendre et protecteur !
Et puis je n’ai pas eu le temps de réaliser mais j’ai vu simultanément ce même geste pour chacune des personnes qui étaient là dans la chapelle. Comment le décrire je ne sais pas, Jésus a fait le même geste pour chacun comme s’il était unique et tous en même temps et c’est ce que je voyais devant moi une superposition d’images identiques avec des personnes toutes différentes mais les images ne se cachaient pas les unes des autres, il n’y avait pas 25 Jésus, il y en avait qu’un et pourtant chacun d’entre nous était dans ses bras, je dis images mais ce n’était pas des images parce que j’avais les yeux véritablement ouverts, que c’était beau ! et puis tout a disparu comme c’était venu 

 

Hélène.

Laisser un commentaire